Louis Aliot au second tour.
Vous avez été près de 13 % à nous faire confiance au premier tour de l’élection municipale de Perpignan et je vous en remercie très sincèrement.
Vous avez surtout été, près de 50 % à ne pas vous être déplacés, pour exprimer un choix. Par oubli, par dépit ou par lassitude ?
Une chose est certaine, la politique du maire sortant ne satisfait pas deux perpignanais sur trois !
Les raisons en sont multiples. Du clientélisme municipal aux désillusions de la politique de Sarkozy, vous êtes nombreux à ne plus croire aux promesses de vos élus.
De droite comme de gauche, de la mairie ou du conseil général, qu’il s’agisse des uns ou des autres, pourquoi voudriez-vous qu’ils fassent demain, ce qu’ils n’ont pas fait hier ?
Comment ne pas condamner les petits arrangements politiciens des socialistes, des communistes et du modem qui, alors qu'ils se sont combattus méchamment pendant la campagne se réunissent aujourd'hui pour partager des places et trahir la confiance des électeurs.
A Perpignan, la situation générale se dégrade, la délinquance augmente, l’emploi se fait rare, le petit commerce, l’artisanat et l’agriculture sont en grande difficulté et les mauvaises nouvelles s’accumulent.
L’endettement par habitant est le double de la moyenne nationale, la fiscalité est l’une des plus élevées des grandes villes, le prix de l’eau, des transports, de l’accès à la culture pèsent lourdement sur le budget des familles françaises ou des retraités de condition modeste.
La réalité du terrain est pourtant dramatique : insécurité, radicalisme musulman, drogue, trafics divers, clandestins, saleté de la ville, pauvreté, précarité, insalubrité de certains quartiers, circulation difficile, colère et déception des milieux économiques, inquiétude dans les services publics, querelles politiciennes et surenchères démagogiques entre l’UMP et le Parti socialiste sont autant de signes inquiétants pour l’équilibre social et le dynamisme économique de notre ville.
Pour avoir des élus qui défendent des idées claires, nationales et populaires, pour avoir des élus qui vous ressemblent, pour défendre vos droits et faire respecter vos choix, il faut des élus du Front National.
Pour contraindre le maire à diriger avec mesure et modestie notre cité, pour obliger le maire à ne pas gaspiller notre argent sans compter, il faut des élus d’opposition du Front National.
N’ayez pas peur, fidèles à nos principes républicains et à nos traditions, nous défendrons vos droits et résisterons à la poursuite aveugle d’un projet européen qui ruine notre économie, notre agriculture, notre viticulture et muselle certaines de nos libertés.
Mesdames et Messieurs, mes chers concitoyens, au second tour, n’hésitez pas, exprimez votre mécontentement !
A la proportionnelle, vous aurez des élus qui feront pression et qui empêcheront les mauvaises décisions.
Au second tour, je compte sur vous,
Bien respectueusement,
Louis Aliot
Vous avez surtout été, près de 50 % à ne pas vous être déplacés, pour exprimer un choix. Par oubli, par dépit ou par lassitude ?
Une chose est certaine, la politique du maire sortant ne satisfait pas deux perpignanais sur trois !
Les raisons en sont multiples. Du clientélisme municipal aux désillusions de la politique de Sarkozy, vous êtes nombreux à ne plus croire aux promesses de vos élus.
De droite comme de gauche, de la mairie ou du conseil général, qu’il s’agisse des uns ou des autres, pourquoi voudriez-vous qu’ils fassent demain, ce qu’ils n’ont pas fait hier ?
Comment ne pas condamner les petits arrangements politiciens des socialistes, des communistes et du modem qui, alors qu'ils se sont combattus méchamment pendant la campagne se réunissent aujourd'hui pour partager des places et trahir la confiance des électeurs.
A Perpignan, la situation générale se dégrade, la délinquance augmente, l’emploi se fait rare, le petit commerce, l’artisanat et l’agriculture sont en grande difficulté et les mauvaises nouvelles s’accumulent.
L’endettement par habitant est le double de la moyenne nationale, la fiscalité est l’une des plus élevées des grandes villes, le prix de l’eau, des transports, de l’accès à la culture pèsent lourdement sur le budget des familles françaises ou des retraités de condition modeste.
La réalité du terrain est pourtant dramatique : insécurité, radicalisme musulman, drogue, trafics divers, clandestins, saleté de la ville, pauvreté, précarité, insalubrité de certains quartiers, circulation difficile, colère et déception des milieux économiques, inquiétude dans les services publics, querelles politiciennes et surenchères démagogiques entre l’UMP et le Parti socialiste sont autant de signes inquiétants pour l’équilibre social et le dynamisme économique de notre ville.
Pour avoir des élus qui défendent des idées claires, nationales et populaires, pour avoir des élus qui vous ressemblent, pour défendre vos droits et faire respecter vos choix, il faut des élus du Front National.
Pour contraindre le maire à diriger avec mesure et modestie notre cité, pour obliger le maire à ne pas gaspiller notre argent sans compter, il faut des élus d’opposition du Front National.
N’ayez pas peur, fidèles à nos principes républicains et à nos traditions, nous défendrons vos droits et résisterons à la poursuite aveugle d’un projet européen qui ruine notre économie, notre agriculture, notre viticulture et muselle certaines de nos libertés.
Mesdames et Messieurs, mes chers concitoyens, au second tour, n’hésitez pas, exprimez votre mécontentement !
A la proportionnelle, vous aurez des élus qui feront pression et qui empêcheront les mauvaises décisions.
Au second tour, je compte sur vous,
Bien respectueusement,
Louis Aliot